La Planète Bleue : Un Documentaire époustouflant à voir absolument !

A couper le souffle.. 

  Que savons-nous du monde sous-marin ?

A l'heure actuelle , rien ou presque nous dit François Sarano, qui est pourtant un  océanographe réputé.. 

Les mers recouvrent plus des deux tiers de notre planète mais nous ne connaissons qu'environ un dixieme sur 2 millions d'espèces présumées,  la surface de la lune a eté plus explorée que les fonds des océans..

Saviez-vous que le corai l est à la fois un minéral et un animal vivant (qui  peut dévorer son voisin avec ses ramifications digestives..) ?

La Planète bleue (sorti 5 ans avant Océans) est un étonnant voyage d'une infinie richesse dans le monde marin, filmé  sur 5 ans et 200 lieux grâce aux moyens techniques innovants de la BBC. Comment ne pas être fasciné en découvrant de prés  des espèces inconnues vivant à des profondeurs quasiment jamais atteintes par l'homme comme le fascinant hippocampe-dragon, la baudroie lumineuse et les hallucinants organismes luminescents ?

Nous assistons aussi à la naissance des crabes, la lutte de  bancs de sardines contre requins et oiseaux mélés, à une réunion  incongrue  de manchots, aux jeu cruel  d' orques contre un baleineau, sans oublier les ballets des dauphins joueurs et les balades majestueuses des b aleines en voie d'extinction, ce film tout public nous invite à un voyage qui rapproche le spectateur de tout âge de la nature.

Il faut voir le film au moins deux fois, la deuxième avec les commentaires de François SARANO qui figurent dans le Dvd. Ce savant, grand monsieur de l'équipe Cousteau nous fait partager toute sa science et toute sa passion.

Pour lui, la vie sauvage malgré sa rudesse est totalement apaisante, il faut sauver les espèces car le monde sauvage est un immense facteur de rêve, et a le pouvoir d'unir les humains dans des émotions uniques devant le spectacle Vrai et  incomparable de la Nature, qui nous renvoie à notre propre vérité et nous restitue le sens des priorités.

Vous comprendrez mieux en regardant certains moments de ce film que François Sarano a totalement raison...